Jour No. 72 - Au-dessus des nuages...

"...la liberté doit être sans limite"

Nous ne savons pas si la liberté est vraiment illimitée là-haut. - Pour que nous puissions recharger nos batteries et celles d'Hector, nous nous sommes rendus hier soir dans un camping. Nous en avons choisi un avec un gymnase et un spa. Mais jusqu'à présent, nous n'avons pas eu l'occasion d'en profiter. Car aujourd'hui et demain, c'étaient des journées de travail. (Note de Torgit : Mon discours : nous voyageons comme nous avons vécu à Cologne 😉 )

Mais tout d'abord, un tel camping exige un certain changement. Là où, ces derniers jours, nous regardions la lande, les forêts, les falaises ou la mer, nous regardons aujourd'hui des pots de yaourt blancs. Car c'est ainsi que la plupart des pilotes de bulli appellent les caravanes blanches. Tout est un peu étroit ici. Nous savons que cela ne restera pas longtemps notre maison.

Aujourd'hui, nous devions encore régler quelques détails organisationnels. - Nous devons, voulons, devons passer quatre jours à Cologne à la fin du mois. Il s'agit de régler certaines choses et de lancer notre prochain projet. Hector doit en effet recevoir l'année prochaine un successeur, un SpaceCamper T6.1 - entre-temps, celui-ci est configurable et nous voulons définir les détails avec VW et SpaceCamper.

Le projet a également un nom, car il ne peut y avoir qu'un seul Hector. Mais un peu d'ADN Hector doit être transmis. C'est pourquoi Hector et SpaceCamper deviennent notre nouveau Spactor. - En outre, il faut trouver un remplaçant pour notre drone. Pendant notre absence, le blog sera mis en sommeil pendant quelques jours, puis il reprendra son cours. - Mais aujourd'hui, il fallait d'abord réserver des vols. - Qu'est-ce que c'était que l'époque où l'on appelait "Paul" à l'agence de voyage et qu'il s'occupait de tout. Aujourd'hui, on essaie de le faire sur Internet. D'abord sur fluege.de, puis sur skyscanner, et enfin sur Ryanair. - Car malheureusement, il n'y avait pas d'offres d'autres entreprises dans les délais que nous avions prévus. Pour faire court, il faut dire les choses clairement. - Aujourd'hui, il nous a fallu au moins trois heures pour effectuer une réservation. Nous avons déposé et envoyé nos données à plusieurs reprises, mais l'ordinateur s'interrompait toujours à différents endroits. - Au final, on est déjà frustré avant même d'être en route pour l'aéroport.

Il y avait donc peu de choses positives à dire aujourd'hui. - Mais même au paradis, il doit y avoir des jours comme ça. Sinon, ce serait ennuyeux.

Pour couronner le tout, on nous a volé le soleil, car une grande caravane se gare tout à coup à côté et nous fait de l'ombre. Les nouveaux voisins sont un jeune couple sympathique avec deux enfants qui, comme nous, font un grand voyage. Inutile de préciser qu'ils sont allemands, car tout le camping semble être aux mains des Allemands. Eux aussi préfèrent rester libres, ils n'attendent ici qu'un paquet. On remarque la publicité "Pastakönig" sur leur caravane, mais malheureusement, ils ne nous apportent pas notre dîner, mais améliorent leur budget de voyage avec cette publicité.

Constatation du jour : l'avarice ne fait plus recette depuis longtemps ! - Alors, chères compagnies aériennes, prenez trois euros cinquante de plus et améliorez votre service et votre bilan environnemental.